Sous une chaleur écrasante, nos coureurs continuent le parcours pour la 9ème étape de cette course. Pour résumer cette étape : des hauts, des bas mais surtout beaucoup de hauts ! Les montées sont difficiles à gravir et la chaleur rend l'exercice encore plus périlleux. Mais nos coureurs vont jusqu'au bout toujours aussi motivés.

Aujourd’hui c’est sans doute l’étape la plus difficile qui nous attend, et en effet les 36° prévus ont bien été au rendez-vous. C’est sous une chaleur écrasante que nos coureurs ont pris la route. Et quelle route, beaucoup de montées et peu de descentes ce qui peut paraître étrange je vous l’accorde mais c’est un réel constat de la part de nos coureurs.

Un nouveau paysage s’ouvre à nous, montagneux, parsemé de lacs. Près du lac de Nantua, nous avons repris des forces. Nous avons eu droit à un déjeuner de chef avec le café inclus ce qui n’est pas négligeable. Nous reprenons la route toujours sous un soleil de plomb, mais nos coureurs tiennent le coup. Un de nos véhicules a subi une petite baisse de tension, et c’est en un clin d’œil que nos secouristes de Bourg-en-Bresse se transforment en mécanos maniant les pinces des deux mains pour faire repartir la batterie. Rien de grave.

Nous sommes accueillis à la maison de retraite de Bellegarde-sur-Valserine. Dans cet établissement Croix-Rouge, les coureurs reçoivent des salves d’applaudissement à leur arrivée. Et une fois n’est pas coutume, un rafraîchement, très apprécié, nous est offert. Des pigeons sont lâchés à notre arrivée pour marquer cette entrée dans la ville étape de Bellegarde.

Un diplôme "du coureur engagé" est attribué à chaque participant pour les remercier de leur présence et de leur motivation.

Le soir, nous avons décidé de faire une petite mise en bouche, nous avons dîné avec toute l’équipe de secouriste dans une pizzéria italienne pour nous acclimater doucement à l’Italie.

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